* https://es.m.wikipedia.org/wiki/Fred_Perry
miércoles, 8 de agosto de 2018
Adolescencia.
* https://es.m.wikipedia.org/wiki/Fred_Perry
martes, 7 de agosto de 2018
Los churros y el Bar Niza.
Para Proust, era una magdalena mojada en té la que evocaba un recuerdo detallado; el olor de los churros me lleva a recordar la visita estival de mi nieta. Al olerlos, oigo su risa cuando descubría su boca rodeada de un cerco de chocolate o cuando le sorprendía el calor persistente de su vaso...
Cafetería Niza en la plaza de Costa Sol en el barrio de Ciudad Jardíncumple 50 años. El abuelo de Rafael García, tercera generación al frente de este negocio, fundó la cafetería cuando aún no se había levantado este popular barrio. Su nieto recuerda que desde el local se podía ver Almodóvar.
* Facebook del Café Niza.
* 10 lugares para comer churros en Córdoba.
* 10 lugares para desayunar en Córdoba.
* Los churros y los
Cafetería Niza en la plaza de Costa Sol en el barrio de Ciudad Jardíncumple 50 años. El abuelo de Rafael García, tercera generación al frente de este negocio, fundó la cafetería cuando aún no se había levantado este popular barrio. Su nieto recuerda que desde el local se podía ver Almodóvar.
* Facebook del Café Niza.
* 10 lugares para comer churros en Córdoba.
* 10 lugares para desayunar en Córdoba.
* Los churros y los
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CÓRDOBA
domingo, 5 de agosto de 2018
En recuerdo.
En recuerdo
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est beau, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse vers l’horizon.
Quelqu’un à mes côtés dit « il est parti ».
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c’est tout…
Son mât est toujours aussi haut
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ».
Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l‘horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie : « le voilà ! »..
William Blake.
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est beau, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse vers l’horizon.
Quelqu’un à mes côtés dit « il est parti ».
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c’est tout…
Son mât est toujours aussi haut
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ».
Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l‘horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie : « le voilà ! »..
William Blake.
Ce matin, j’ai rêvé qu’il pleuvait.
Que la campagne renaissait sur cette promesse de vie nouvelle,
Après la pyrale du buis, après l’épisode de canicule.
Cette pluie douce et fine qui nous enveloppe comme un voile de fraîcheur
Que la campagne renaissait sur cette promesse de vie nouvelle,
Après la pyrale du buis, après l’épisode de canicule.
Cette pluie douce et fine qui nous enveloppe comme un voile de fraîcheur
Puis je me suis rappelé que mon fils s’est jeté dans le vide,
Et flotte maintenant dans la nuit étoilée,
Que la pluie est comme ces larmes qui ont manqué,
qui ne veulent plus venir pour éponger un peu de ce désespoir
Et flotte maintenant dans la nuit étoilée,
Que la pluie est comme ces larmes qui ont manqué,
qui ne veulent plus venir pour éponger un peu de ce désespoir
(G.P. 28 de agosto 2018)
sábado, 4 de agosto de 2018
martes, 31 de julio de 2018
jueves, 26 de julio de 2018
Philippe
CHAY
Le maire et les membres du conseil municipal
ont la tristesse de vous faire part du décès de
Monsieur Philippe ...
Fils de , adjoint au maire
survenu le 26 juillet 2018, à l'âge de 37 ans.
La cérémonie religieuse sera célébrée ce lundi 30
juillet, à 14 h 30, en l'église de Paroy.
Je suis debout au bord de la plage.
Un voilier passe dans la brise du matin et part vers l’océan.
Il est beau, il est la vie.
Je le regarde jusqu’à ce qu’il disparaisse vers l’horizon.
Quelqu’un à mes côtés dit « il est parti ».
Parti ? Vers où ?
Parti de mon regard, c’est tout…
Son mât est toujours aussi haut
Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine.
Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui.
Et juste au moment où quelqu’un près de moi dit : « il est parti ».
Il en est d’autres qui, le voyant poindre à l‘horizon et venir vers eux,
S’exclament avec joie : « le voilà ! »..
William Blake
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